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26/01/2015

La musique sur FB - 2211 G.Verdi

Giuseppe Verdi

La Traviata

"E strano! E strano!"

 

Maria Callas, Francesco Albanese

Ugo Savarese

Orchestra Sinfonica Di Torino

Della Rai Coro Cetra

Gabriele Santini


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01/05/2014

La musique sur FB - 1658 G.Verdi

Giuseppe Verdi

Rigoletto

"E il sol dell'anima"

 

Maria Callas, Giuseppe di Stefano

Tito Gobbi

Orchestra del Teatro alla Scala di Milano

Tulio Serafin


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20/02/2014

La musique sur FB - 2060 G.Verdi

Giuseppe Verdi

Un ballo in maschera

"Re dell'abisso"

 

Elena Obraztsova

Coro del Teatro alla Scala

Orchestra del Teatro alla Scala

Claudio Abbado

pour Jean-Luc L


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01/01/2013

La musique sur FB - 426 G.Verdi

Giuseppe Verdi

Les Vêpres siciliennes

Ouverture

 

Emmanuel Pahud

Berliner Philharmoniker

Claudio Abbado

merci à Claude T et Nicole R


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La musique sur FB - 2036 G.Verdi

Giuseppe Verdi

Aïda

"O Patria mia"

 

Katia Ricciarelli

Orchestra del Teatro alla Scala

Claudio Abbado


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La musique sur FB - 737 G.Verdi

Giuseppe Verdi

La traviata

 

Renée Fleming, Suzanna Guzman

Anna Alkhimova, Rolando Villazón

Renato Bruson, Daniel Montenegro

Los Angeles Opera Chorus and Orchestra

James Conlon


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La musique sur FB - 749 G.Verdi

Giuseppe Verdi

La Traviata

 

Anna Moffo, Renato Cioni

Mario Sereni, Giorgio Loretti

Romana Righetti, Limbania Leoni

Nicola Zaccaria, Alfredo Giacomotti

Silvio Maionica

Coro e Orchestra del Teatro alla Scala di Milano

Herbert von Karajan

en souvenir de C.C.



15/07/2012

Alberto Savinio

Bloc-Notes, 15 juillet / Genève

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Alberto Savinio demeure méconnu auprès du public de langue française. De son vrai nom Andrea Francesco Alberto de Chirico, il naît en 1891 à Athènes et s'éteint à Rome en 1952. Ecrivain, peintre et compositeur italien, il est aussi le frère cadet du peintre Giorgio de Chirico. Auteur d'une trentaine d'ouvrages - dont près de la moitié ont été traduits - citons La boîte à musique (Fayard), L'intensité dramatique de Leopardi (Allia), Apologie du dilettante précédé de Epigrammes de Lucien (Gallimard), Capitaine Ulysse (Bourgois) et enfin Ville j'écoute ton coeur (Gallimard) qui vient de paraître au début de cette année. 

Si un seul écrit devait attester de l'injustice faite à la ville de Milan - à laquelle sont toujours préférées Rome, Florence, Venise ou Naples - c'est bien celui-ci, même si à certains égards, ce tableau s'achève en 1943 et témoigne d'un passé révolu. Voyager avec Alberto Savinio s'avère aussi passionnant et instructif qu'en compagnie de Guido Ceronetti - en un autre temps - tout aussi méconnu que lui. Du Museo Poldi Pezzoli à la Pinacoteca di Brera, de la Scala de Milan à la maison rouge où vécut pendant une soixantaine d'années Alessandro Manzoni, c'est en quelque sorte une part infinie de tout le patrimoine et de l'âme italienne qui défile sous nos yeux: Giotto, Piero della Francesca, Gabriele D'Annunzio, Ambroise de Milan, Dante, Pétrarque ou Giuseppe Ungaretti parmi tant d'autres. Mais la qualité de son regard ne se borne pas qu'aux considérations artistiques ou historiques. C'est aussi la poésie et l'atmosphère de la ville qu'il nous restitue, par exemple devant le Dôme: Les mouvements de la foule sur cette place nette obéissaient à un ordre mystérieux, comme ces circuits qui font et défont les cristaux versicolores dans le rond mystérieux du kaléidoscope. Un noyau noir se formait au centre de la place, s'élargissait comme une rose qui s'ouvre à vue d'oeil, elle éclaboussait en étoile comme une tache d'encre mobile, puis se recomposait pour recommencer de nouveau à se décomposer; et ainsi jusqu'au soir, qui parfois tombait tout noir et sans lumière pour en contrecarrer l'obscurité.

Ailleurs, il consacre de superbes pages aux spécialités culinaires, à l'arbre des connaissances, aux poètes, à la pluie et au brouillard de Milan, ainsi qu'à la musique - voir les extraits déjà présentés dans Morceaux choisis, sur La scie rêveuse - dont Giuseppe Verdi - le Garibaldi de la musique - est la figure emblématique, évoquée surtout à travers Falstaff: Tandis que "Parsifal" est encore une peinture à l'huile, souvent de pâte opaque et étendue sur un gras enduit de craie et de colle, "Falstaff" est une détrempe au miel étendue en glacis sur un endroit compact et parfaitement lisse, une peinture sur marbre. A propos de la Traviata, il ose une approche insolite et pourtant fort pertinente: Pour mieux goûter, pour mieux comprendre les airs de "La Traviata", ces maigres papillons d'une soirée sans lendemain, il ne faut pas entendre "La Traviata" au théâtre, mais jouée par les orgues de Barbarie. Parce que "La Traviata" opère avec plus d'émotion dans le souvenir que dans le présent, et que l'orgue de Barbarie est le moulin des souvenirs; parce que l'orgue de Barbarie restitue cette musique de la tristesse citadine à son milieu naturel.

Dans ce merveilleux livre, aux côtés de Friedrich Nietzsche, Francesco Guardi et Isidora Duncan, vous ferez aussi halte à Venise, avant d'ouvrir votre fenêtre sur Padoue - les palmiers de Goethe - Sienne et Vicenza, ville pour promenades au soleil d'hiver. Entretemps Alberto Savinio vous aura invité à la mort de Richard Wagner, entraîné sur les pas de Tite-Live et éveillé à la freddura, dont je vous laisse découvrir la signification profonde au détour de ces pages.

Après la destruction de Milan - pages ajoutées par l'auteur - Alberto Savinio conclut: Je circule parmi les ruines de Milan. Pourquoi cette exaltation en moi? Je devrais être triste, au contraire je fourmille de joie. Je devrais ressasser des pensées de mort, et au contraire des pensées de vie me frappent au front, comme le souffle du plus pur et radieux matin. Pourquoi? Je sens que de cette mort naîtra une nouvelle vie. Je sens que de ces ruines surgira une ville plus forte, plus riche, plus belle. Ce fut alors, Milan, qu'en silence, entre moi et ton coeur, je te fis ma promesse. Revenir à toi. Clore en toi ma vie. Entre tes pierres, sous ton ciel, parmi tes jardins clos...

Ville j'écoute ton coeur est un ouvrage incontournable pour tout esprit curieux de l'intériorité italienne et de son art, outre une invitation à accepter de se laisser séduire par Milan, au plus vite!

Alberto Savinio, Ville j'écoute ton coeur (Gallimard, 2012)

image: Piazza Eleonora Duse, Milano (www.flickr.com)

19/05/2012

Au bar à Jules - Du chant

Un abécédaire: C comme Chant

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en souvenir de ma mère

Le chant a toujours fait partie de ma vie. A l'âge de six ans, dans notre immeuble locatif de la banlieue bernoise, j'avais pour voisine la mère du baryton Heinz Rehfuss, d'origine suisse, naturalisé américain par la suite. Tous les soirs, elle donnait des cours particuliers à des chanteurs aspirant à faire carrière dans l'opéra. Cela se terminait généralement vers deux heures du matin, autour d'un verre, avec des éclats de rire qui ne manquaient pas de perturber le légendaire sérieux de notre entourage.

Ma mère s'était liée d'amitié avec ces artistes noctambules, dont l'un - un napolitain nommé Michele Luise - devint un proche de ma famille, malgré son retour au pays à la suite d'un chagrin d'amour dans la plus pure tradition des films d'Amedeo Nazzari... De cette époque datent mes premiers émois pour le chant. Un 45 tours du Largo de Georg Friedrich Haendel avec Margot Guillaume, et deux autres 33 tours consacrés aux opéras de Giuseppe Verdi: La Traviata avec Antonietta Stella et Giuseppe di Stefano; Rigoletto avec Renata Tebaldi et Mario del Monaco.

Autre souvenir bienheureux, même époque, à Forio d'Iscia - six ans de suite, et bien avant les fossoyeurs du tourisme de masse - où auprès des modestes propriétaires terriens du lieu, nous écoutions tous les samedis soir, éclairés par des lampes à pétrole dans un silence religieux, assis à califourchon sur un mur, la retransmission des opéras en direct, dont le son grésillant émanait d'un minuscule appareil à transistors.

Jusqu'à sa cinquantième année - une opération ratée des cordes vocales - ma mère a toujours chanté et pas seulement des airs d'opéra, mais aussi ses poètes préférés de la chanson: Edith Piaf, Charles Aznavour, Léo Ferré, Charles Trenet ou Jacques Brel, sans oublier les chansons napolitaines qui adoucissaient ses heures de mélancolie, de solitude ou de maladie, prématurément.

Il subsiste aujourd'hui, dans ces mêmes murs, une présence invisible chargée d'émotion quand j'écoute, entre sourire et larmes, Nessun Dorma de Giacomo Puccini avec Beniamino Gigli et Vesti la Giubba de Ruggero Leoncavallo avec Mario Lanza.

L'affinité avec l'Italie - une seconde patrie - est vraiment chez nous une histoire de famille...     

image: portrait de ma mère (1946)  

01/02/2012

La musique sur FB - 1660 G.Verdi

Giuseppe Verdi

Macbeth

"Ah, la paterna mano"

 

Enrico Caruso

(orchestre non identifié)


23:20 Écrit par Claude Amstutz dans Giuseppe Verdi, La musique sur Facebook, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique; facebook | |  Imprimer |  Facebook | | |