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01/01/2013

La musique sur FB - 2010 G.F.Haendel

Georg Friedrich Haendel

Scipione Rolli, HWV 20

Act II - "Scoglio d'immota fronte"

 

Simone Kermes

Lautten Compagney

Wolfgang Katschner

pour Luce L


07:35 Écrit par Claude Amstutz dans Georg Friedrich Haendel, La musique sur Facebook, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique; facebook | |  Imprimer |  Facebook | | |

La musique sur FB - 1978 G.F.Haendel

Georg Friedrich Haendel 

Sonata for Recorder in F major, Op 1

Sonata for Recorder in A minor, Op 1

Sonata for Recorder in G minor, Op 1

Sonata for Recorder in C major, Op 1

Sonata for flute in D minor, Op 1

Sonata for Recorder in B major, HY 418

 

Marion Verbruggen, Jaap ter Linden

Tom Koopman


04:15 Écrit par Claude Amstutz dans Georg Friedrich Haendel, La musique sur Facebook, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique; facebook | |  Imprimer |  Facebook | | |

La musique sur FB - 906 G.F.Haendel

Georg Friedrich Haendel

Atalanta

"Like as the love-lurn turtle"

 

Kathleen Ferrier

Giorgio Favaretto

merci à Catherine A


20/11/2012

Musica présente - 40 Anne Queffélec

Anne Queffélec

pianiste française, née en 1948

*

Georg Friedrich Haendel

Suite for keyboard Vol 2, No 3 in D minor, HWV 436

 

07:46 Écrit par Claude Amstutz dans Anne Queffélec, Georg Friedrich Haendel, Musica présente, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique | |  Imprimer |  Facebook | | |

01/09/2012

Morceaux choisis- Jean-Loup Charvet 1b

Testament de l'artiste lyrique Jean-Louis Charvet - décédé le 25 mai 1998 à l'âge de trente-sept ans - L'éloquence des larmes est accompagné d'un CD, avec des oeuvres de Johann Christoph Bach, Michel Lambert, François Couperin, Georg Friedrich Haendel et John Dowland. Ce dernier est choisi ici avec Flow my Tears, interprété par Jean-Louis Charvet et le groupe instrumental La Réjouissance, sous la direction de Stefano Intrieri.


Jean-Loup Charvet, L'éloquence des larmes - Livre/CD (Desclée de Brouwer, 2001)

11:14 Écrit par Claude Amstutz dans Georg Friedrich Haendel, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique | |  Imprimer |  Facebook | | |

29/08/2012

Musica présente - 32 Philippe Jaroussky

Philippe Jarrousky

contre-ténor français, né en 1978

*

Georg Friedrich Haendel: "Alessandro Severo" - Ouverture

Geminiano Giacomelli: La Merope - "Sposa non mi conosci"

Geminiano Giacomelli: La Merope - "Dono d'amica sorte"

Antonio Vivaldi: Concerto pour bassonen do majeur, RV 477

Georg Friedrich Haendel: Alcina - "Mi lusinga il dolce affetto"

Antonio Vivaldi: Ercole sul Termodonte "Sento con qual diletto" 

Leonardo Leo - Farnace - "Se mi dai morte "

Georg Friedrich Haendel: Ariodante - "Scherza infida" 

Antonio Vivaldi: Concerto pour violon en ré mineur, RV 242

Nicola Porpora: Polifemo - "Alto Giove"

(Ensemble Artaserse)

merci à Claudine R





06:54 Écrit par Claude Amstutz dans Antonio Vivaldi, Georg Friedrich Haendel, Musica présente, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : musique classique; facebook | |  Imprimer |  Facebook | | |

05/06/2012

Donna Leon 1a

Bloc-Notes, 5 juin / Les Saules

littérature; musique; livres

Voici un Donna Leon sans le célébrissime commissaire Brunetti, et pour cause: car elle aborde ici une autre de des passions, l'opéra. En l'occurence, Georg Friedrich Haendel, son compositeur préféré. Dans son avant-propos, elle nous dit: Enlevez le moteur. Faites-le disparaître de votre conscience: coupez tout, carrément. Puis jetez un regard neuf sur le monde ou - pour mieux dire - regardez le monde tel qu'il était avant d'avoir été bouleversé par l'introduction du moteur et par tous les changements qui l'ont accompagnée. Le degré d'importance accordé à certaines choses va soudain changer. Qui a besoin de pétrole? Où puis-je trouver un bon cheval? L'une des premières réévaluations exigées par l'absence de moteurs sera une redéfinition de l'ordre de la création, dans laquelle les animaux retrouveront leur ancienne importance.

Elle s'attache ainsi à l'un des aspects les plus originaux des opéras de Haendel, soit les animaux qu'elle nous présente au fil de ce modeste ouvrage - 140 pages - illustré par Michael Sowa et accompagné d'un CD contenant les extraits des oeuvres évoquées, avec l'Ensemble Il Complesso Barocco sous la direction de Alan Curtis. Il ne s'agit pas d'un traité de musicologie dans ce bestiaire, mais plutôt d'une promenade amoureuse que Donna Leon veut partager avec les esprits curieux, bien au-delà de la musique. Citant souvent les Saintes Ecritures, les historiens ou les poètes, elle nous tend ainsi le miroir de ces compagnons parfois mal-aimés qui sont autant de miroirs ou de visages de nos impulsions profondes.

Pari réussi, car à la fin de ce livre, on se sent moins bête, soucieux d'en savoir davantage sur les opéras et oratorios de Haendel qui ont éclairé son propos, entre autres: Giulio Cesare in Egitto, Judas Maccabaeus, Arianna en Creta, Berenice regina in Egitto, Deidamia, Alcina ou Theodora.

Une lecture agréable et pleine de charme!

Donna Leon, Le bestiaire de Haendel (Calmann-Lévy, 2012) 

Donna Leon 1b

Bloc-Notes, 5 juin / Les Saules

En complément à la présentation du livre-CD de Donna Leon consacré à Georg Friedrich Haendel, voici Vieni, o caro, che senza il tuo cuore de l'opéra Rinaldo de Georg Friedrich Haendel, avec Ann Hallenberg et l'orchestre Il Complesso Barocco, sous la direction de Alan Curtis. Cet extrait ne figure pas sur le CD d'accompagnement!


Donna Leon, Le bestiaire de Haendel (Calmann-Lévy, 2012)

00:38 Écrit par Claude Amstutz dans Bloc-Notes, Georg Friedrich Haendel, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique | |  Imprimer |  Facebook | | |

24/05/2012

Musica présente 13 - Renata Tebaldi

Renata Tebaldi

cantatrice italienne, 1922-2004

*

Georg Friedrich Haendel

Giulio Cesare in Egitto

" Piangerò la sorte mia"

Giorgio Favaretto


08:19 Écrit par Claude Amstutz dans Georg Friedrich Haendel, Musica présente, Musique classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique classique | |  Imprimer |  Facebook | | |

19/05/2012

Au bar à Jules - Du chant

Un abécédaire: C comme Chant

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en souvenir de ma mère

Le chant a toujours fait partie de ma vie. A l'âge de six ans, dans notre immeuble locatif de la banlieue bernoise, j'avais pour voisine la mère du baryton Heinz Rehfuss, d'origine suisse, naturalisé américain par la suite. Tous les soirs, elle donnait des cours particuliers à des chanteurs aspirant à faire carrière dans l'opéra. Cela se terminait généralement vers deux heures du matin, autour d'un verre, avec des éclats de rire qui ne manquaient pas de perturber le légendaire sérieux de notre entourage.

Ma mère s'était liée d'amitié avec ces artistes noctambules, dont l'un - un napolitain nommé Michele Luise - devint un proche de ma famille, malgré son retour au pays à la suite d'un chagrin d'amour dans la plus pure tradition des films d'Amedeo Nazzari... De cette époque datent mes premiers émois pour le chant. Un 45 tours du Largo de Georg Friedrich Haendel avec Margot Guillaume, et deux autres 33 tours consacrés aux opéras de Giuseppe Verdi: La Traviata avec Antonietta Stella et Giuseppe di Stefano; Rigoletto avec Renata Tebaldi et Mario del Monaco.

Autre souvenir bienheureux, même époque, à Forio d'Iscia - six ans de suite, et bien avant les fossoyeurs du tourisme de masse - où auprès des modestes propriétaires terriens du lieu, nous écoutions tous les samedis soir, éclairés par des lampes à pétrole dans un silence religieux, assis à califourchon sur un mur, la retransmission des opéras en direct, dont le son grésillant émanait d'un minuscule appareil à transistors.

Jusqu'à sa cinquantième année - une opération ratée des cordes vocales - ma mère a toujours chanté et pas seulement des airs d'opéra, mais aussi ses poètes préférés de la chanson: Edith Piaf, Charles Aznavour, Léo Ferré, Charles Trenet ou Jacques Brel, sans oublier les chansons napolitaines qui adoucissaient ses heures de mélancolie, de solitude ou de maladie, prématurément.

Il subsiste aujourd'hui, dans ces mêmes murs, une présence invisible chargée d'émotion quand j'écoute, entre sourire et larmes, Nessun Dorma de Giacomo Puccini avec Beniamino Gigli et Vesti la Giubba de Ruggero Leoncavallo avec Mario Lanza.

L'affinité avec l'Italie - une seconde patrie - est vraiment chez nous une histoire de famille...     

image: portrait de ma mère (1946)