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22/05/2012

Robert Bober

littérature; roman; livresRobert Bober, Laissées-pour-compte (P.O.L., 2005)

Les vêtements ont-ils un nom, une âme, une mémoire ? On serait tenté de répondre par l'affirmative après la lecture de ce roman très original qui se déroule entre 1949 et 1964. Ainsi, trois vestes racontent leur histoire : Y a pas de printemps (l’étudiante), Un monsieur attendait (le monde du théâtre) et Sans vous dont l’histoire n’est révélée qu’à la fin du livre. Un prétexte original pour dire l’éphémère du temps qui passe dans un Paris d’autrefois – ponctué par des extraits de chansons de l’époque - avec beaucoup de chaleur, de tendresse et de poésie. En refermant ce livre, vous éprouverez peut-être des remords à jeter vos vêtements usagés…

Egalement disponible en format de poche (coll. Folio/Gallimard, 2007) 

11:22 Écrit par Claude Amstutz dans Littérature francophone | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : littérature; roman; livres | |  Imprimer |  Facebook | | |

Commentaires

oui, j'aime beaucoup ces histoires de vestes qui parlent, prennent l'autobus ... Rencontré Robert Bober quand ce livre est sorti, il était venu parler au MAHJ à Paris, si sympathique ...

Écrit par : gilda nataf | 22/05/2012

ça sent l'Histoire et son importance dans la vie qui passe. Un livre alléchant en effet.

Écrit par : abbassia | 15/06/2012

Les commentaires sont fermés.