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04/02/2008

Katherine Pancol

9782226182319.gifKatherine Pancol, La valse lente des tortues (Albin Michel, 2008)

 

Vous éprouvez un moment de découragement, votre quotidien est gris, votre avenir professionnel inconsistant, vos relations personnelles banales ou ternes ? Alors, n’hésitez pas une seconde : Lisez La valse lente des tortues, une lecture tonique, généreuse, bouillonnante qui fait du bien au moral ! Vous y retrouverez la libre, timide et attachante Joséphine de Les yeux jaunes des crocodiles (chez le même éditeur) qui a quitté Courbevoie pour Passy après le succès de son livre, observatrice et témoin de ses nouveaux voisins, attentive à ce grand amour qui s’obstine à demeurer absent. Ce roman n’est pas seulement la suite du précédent, car Katherine Pancol s’amuse avec ses personnages – et ses lecteurs ! – et ne nous ménage pas les surprises : Du bonheur progressif de Joséphine au destin désespéré de sa sœur Iris, de sa fille Zoé qui connaît les premiers émois amoureux à Hortense – l’aînée – qui ambitionne une carrière de styliste à Londres, cette histoire est aussi parsemée de … meurtres (mais oui !) avec des séducteurs redoutables ou des personnages austères aux comportements trompeurs. Même le surnaturel, avec Junior, le fils de Marcel et de Josiane, fait une brève incursion dans le récit. Bref, dans cette comédie humaine aux chemins de traverse proches de la vraie vie, vous ne vous ennuierez pas une seconde et attendrez impatiemment … la suite !

22:18 Écrit par Claude Amstutz dans Katherine Pancol, Littérature francophone | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature; roman; livres | |  Imprimer |  Facebook | | |

30/05/2006

Katherine Pancol

Katherine Pancol.jpgKatherine Pancol, Vu de l'extérieur (Coll. Points/Seuil, 1994)

Ce roman est peut-être le plus achevé de Katherine Pancol. Grave et drôle à la fois, c’est sans doute aussi le plus douloureux, mais le personnage de Doudou – son plus beau personnage féminin – est inoubliable. Toute l'ombre et la lumière de la nature féminine s'y extériorise avec bonheur: Sa relation aux autres, son identité, sa condition. Son besoin de rire, d'aimer et de (se) comprendre. Sa solitude, aussi. Une gravité émouvante sert de fil conducteur à une histoire qui ne manquera pas de surprendre. A prendre absolument dans ses bagages, sur une île déserte!

22:35 Écrit par Claude Amstutz dans Katherine Pancol, Littérature francophone | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature; roman; livres | |  Imprimer |  Facebook | | |

06/03/2006

Katherine Pancol

9782226169983.gifKatherine Pancol, Les yeux jaunes des crocodiles (Albin Michel, 2006)

Fresque sociale autant que roman familial, le dernier et passionnant roman de Katherine Pancol se lit d'une traite. Il raconte l'histoire de deux soeurs que tout sépare - la beauté, l'aisance, la richesse - et dont le destin bascule autour de l’écriture d’un livre et du cortège de mensonges, de tromperies et de jalousies qui s’en suivront. Qui de Joséphine, cultivée mais qui vit - plutôt mal - en banlieue avec deux enfants et un mari au chômage et Iris soucieuse de son image sociale, de sa nécessaire victoire sur l'ennui, est donc la plus fragile? La première écrit alors que l’autre signe de son propre nom l’ouvrage. Caractérisée par un style vif presque acéré, cette histoire met une fois encore en évidence l'un des thèmes récurrents de l'auteur: la confrontation entre mère et fille. Une réussite!

22:06 Écrit par Claude Amstutz dans Katherine Pancol, Littérature francophone | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature; roman; livres | |  Imprimer |  Facebook | | |