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23/02/2012

Steinunn Sigurdardottir

cent-portes-battant-01.jpgSteinunn Sigurdardottir, Cent portes battant aux quatre vents (Héloïse d'Ormesson, 2011)

présenté par Sonia Castro - Librairie Payot, Nyon 

Plus de vingt ans ont passés depuis que Brynhildur a quitté Paris où elle a été étudiante à la Sorbonne. Mais un court séjour dans la capitale ainsi qu'une aventure inattendue et sans lendemain la projettent malgré elle face à ses souvenirs de jeunesse, parmi lesquels, celui du grand amour à côté duquel elle est passée. Pourquoi ne saisit-on pas le bonheur lorsqu'il passe? Pourquoi tous ces tourments et ces attirances non réciproques?

Brynhildur part à Paris afin de trouver un paravent pour sa fille. Tournant dans la capitale, elle atterrit dans une petite boutique où elle va vivre une expérience charnelle qui fera jaillir de sa mémoire ses souvenirs d’étudiante. Elle retrouve alors les rues qu’elle prenait en suivant son professeur de grec qu’elle aimait. La nostalgie d’une femme qui regarde sa vie passée, essayant d’y trouver du réconfort. 

08:15 Écrit par Claude Amstutz dans Littérature étrangère | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature; roman; livres | |  Imprimer |  Facebook | | |

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